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Maison principale

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Naviguer dans la complexité des résidences principales en fiscalité : ce que vous devez savoir

Comprendre les résidences principales et leurs implications fiscales

Le concept de résidence principale, tel que défini par l'Internal Revenue Service (IRS), a un poids important en matière de fiscalité. Il fait référence à la résidence principale où réside un contribuable pendant la majeure partie d'une année d'imposition donnée ou à l'unique propriété appartenant au contribuable. Cette classification est essentielle, notamment en ce qui concerne l'exclusion des plus-values ​​lors de la vente de sa résidence principale.

Dévoilement de la mécanique des résidences principales

Les gains en capital provenant de la vente d'une résidence principale, jusqu'à 250 000 $ pour les déclarants célibataires et 500 000 $ pour les déclarants mariés et conjoints, peuvent être exclus du revenu imposable, sous réserve de critères de propriété et d'utilisation. Cependant, certaines circonstances, telles que l'acquisition d'une propriété par le biais d'un échange de même nature ou le statut fiscal d'expatrié, peuvent exclure l'éligibilité à l'exclusion des plus-values.

Détermination des critères de qualification des résidences principales

Dans les scénarios où des individus possèdent ou habitent plusieurs résidences, la détermination de la résidence principale nécessite une évaluation approfondie des faits et des circonstances. Bien que le facteur principal soit le temps passé dans chaque propriété, les considérations auxiliaires incluent la documentation officielle répertoriant l'adresse de la propriété, le lieu de travail, les liens familiaux et les affiliations avec des entités récréatives ou religieuses.

Élargir la portée : variétés de propriétés admissibles

L'exclusion fiscale des plus-values ​​s'étend à diverses propriétés résidentielles, englobant les maisons unifamiliales, les copropriétés, les appartements coopératifs, les maisons mobiles et les péniches. De plus, les personnes confrontées à une incapacité physique ou mentale peuvent tirer parti des exigences de résidence pour obtenir l’exclusion des gains en capital.

Naviguer dans les transferts de domicile et les règlements de divorce

En cas de transfert de domicile, notamment dans le cadre d'un divorce, la plus-value du bien depuis son acquisition reste exonérée d'impôt, à condition que le bénéficiaire soit un étranger résident. Il existe toutefois des exceptions pour les transferts impliquant des étrangers non-résidents, ce qui pourrait soumettre la transaction à l'impôt.